Entrevue exclusive
Le 18 avril 2010, bien qu’elle était en plein voyage d’étude, Mélissa a gentillement répondu à quelques questions qui nous brulait les lèvres. Voici donc notre entrevue exclusive avec elle.
Combien d’instruments maîtrises-tu?
Je touche à toutes les percussions: classiques, latines, africaines, arabes, pop et je taquine aussi la batterie…
Qu’es-tu le plus fière d’avoir accomplit dans ta carrière?
Pour mes 10 ans de percussion, je me suis offert un voyage d’étude en Guinée. Deux mois toute seule avec 4 ballets africains: Gangan Percussions, les Amazones, le Djoliba et Balandougoukan. J’en suis très fière car malgré toutes les difficultés que j’ai affrontées pendant ce voyage, je n’ai pas abandonné. J’en suis sortie plus forte personnellement et musicalement.
Tu as fait partie des Grands ballets canadiens, est-ce que ça te manque?
La danse me manque énormément. Heureusement, la scène me permet encore de m’exprimer artistiquement et les percussions, de bouger un peu. Et même si je ne danse plus professionnellement, je continue à prendre des cours pour mon plaisir…
Tu as accompagnée beaucoup d’artistes connus, avec lequel as-tu eut ton expérience la plus mémorable?
Accompagner Angélique Kidjo a vraiment été toute une expérience musicale. J’ai compris le sens du terme “extraordinaire”. Vraiment, elle l’est par sa générosité, son talent et la passion palpable qui l’anime.
Avec quel artiste rêves-tu de jouer?
Je rêve secrètement d’accompagner un jour Sting et John Mayer. Mais Justin Timberlake ou Madonna feraient aussi l’affaire…
De qui admires-tu la carrière?
Très bonne question. Il est très difficile je crois, en tant qu’artiste, d’entretenir un équilibre entre sa vie personnelle et sa vie professionnelle. Sting (encore), malgré son immense succès, semble avoir maintenu cet équilibre tout au long de sa carrière et j’ai beaucoup d’admiration pour lui pour cette raison.
Tu as pleins de projets, tu joues avec de nombreux artistes, as-tu encore des rêves?
J’ai et j’aurai toujours des rêves, c’est ce qui tient un artiste vivant. Je n’ai encore jamais fait de tournée internationale et j’aimerais beaucoup que mon métier m’amène bientôt en voyage autrement que par les études…
As-tu déjà été intimidée de jouer avec un artiste?
On a tous des “idoles” d’adolescence. Les miens étaient Jean Leloup et Daniel Bélanger… J’ai été incapable de leur adresser la parole lorsqu’ils sont venus à Belle et Bum!
Mis à part la musique, quels sont tes hobby?
La danse évidemment et l’écriture. J’ai un DEC en journalisme et j’ai toujours rêvé, un jour, d’écrire…
Tu fais souvent des voyages pour apprendre de nouveaux instruments, as-tu décidé quelle serait ta prochaine destination?
Je suis présentement à NY pour approfondir mes connaissances des frame drums avec Glen Velez, une sommité en la matière. J’ai très hâte d’aller au Brésil pour étudier la samba, mais comme Belle et Bum revient l’an prochain (yeah) et que je veux y aller en février; je devrai me choisir une autre destination que je n’ai pas encore choisie…
Tu as été présenter ton propre spectacle à Vancouver dans le cadre des Jeux Olympiques de 2010, comment as-tu trouvé ton expérience?
J’ai adoré! Je me suis en fait sentie vraiment privilégiée de pouvoir représenter la portion instrumentale des artistes québécois à Vancouver. Et l’énergie des Jeux était incroyable.
Grâce à Belle et Bum tu fais pleins de découvertes musicales, est-ce qu’il y en a une qui t’as marquée plus que les autres?
J’ai effectivement découvert plusieurs artistes que je ne connaissais pas avant leur passage à l’émission. Johnny Clegg est l’un deux; je le connaissais de réputation, mais je me suis procuré quelques uns de ses albums après l’avoir accompagné.
Combien d’heures de répétition avez-vous pour chaque émission de Belle et Bum?
Nous répétons environ 15h pour chacune des émissions.
Un journée dans la vie de Mélissa Lavergne, ça ressemble à quoi?
Ouf, dur de répondre à cela, car mes journées sont complètement différentes de l’une à l’autre; c’est le plaisir d’être travailleur autonome…!
Combien d’instruments maîtrises-tu?
Je touche à toutes les percussions: classiques, latines, africaines, arabes, pop et je taquine aussi la batterie…
Qu’es-tu le plus fière d’avoir accomplit dans ta carrière?
Pour mes 10 ans de percussion, je me suis offert un voyage d’étude en Guinée. Deux mois toute seule avec 4 ballets africains: Gangan Percussions, les Amazones, le Djoliba et Balandougoukan. J’en suis très fière car malgré toutes les difficultés que j’ai affrontées pendant ce voyage, je n’ai pas abandonné. J’en suis sortie plus forte personnellement et musicalement.
Tu as fait partie des Grands ballets canadiens, est-ce que ça te manque?
La danse me manque énormément. Heureusement, la scène me permet encore de m’exprimer artistiquement et les percussions, de bouger un peu. Et même si je ne danse plus professionnellement, je continue à prendre des cours pour mon plaisir…
Tu as accompagnée beaucoup d’artistes connus, avec lequel as-tu eut ton expérience la plus mémorable?
Accompagner Angélique Kidjo a vraiment été toute une expérience musicale. J’ai compris le sens du terme “extraordinaire”. Vraiment, elle l’est par sa générosité, son talent et la passion palpable qui l’anime.
Avec quel artiste rêves-tu de jouer?
Je rêve secrètement d’accompagner un jour Sting et John Mayer. Mais Justin Timberlake ou Madonna feraient aussi l’affaire…
De qui admires-tu la carrière?
Très bonne question. Il est très difficile je crois, en tant qu’artiste, d’entretenir un équilibre entre sa vie personnelle et sa vie professionnelle. Sting (encore), malgré son immense succès, semble avoir maintenu cet équilibre tout au long de sa carrière et j’ai beaucoup d’admiration pour lui pour cette raison.
Tu as pleins de projets, tu joues avec de nombreux artistes, as-tu encore des rêves?
J’ai et j’aurai toujours des rêves, c’est ce qui tient un artiste vivant. Je n’ai encore jamais fait de tournée internationale et j’aimerais beaucoup que mon métier m’amène bientôt en voyage autrement que par les études…
As-tu déjà été intimidée de jouer avec un artiste?
On a tous des “idoles” d’adolescence. Les miens étaient Jean Leloup et Daniel Bélanger… J’ai été incapable de leur adresser la parole lorsqu’ils sont venus à Belle et Bum!
Mis à part la musique, quels sont tes hobby?
La danse évidemment et l’écriture. J’ai un DEC en journalisme et j’ai toujours rêvé, un jour, d’écrire…
Tu fais souvent des voyages pour apprendre de nouveaux instruments, as-tu décidé quelle serait ta prochaine destination?
Je suis présentement à NY pour approfondir mes connaissances des frame drums avec Glen Velez, une sommité en la matière. J’ai très hâte d’aller au Brésil pour étudier la samba, mais comme Belle et Bum revient l’an prochain (yeah) et que je veux y aller en février; je devrai me choisir une autre destination que je n’ai pas encore choisie…
Tu as été présenter ton propre spectacle à Vancouver dans le cadre des Jeux Olympiques de 2010, comment as-tu trouvé ton expérience?
J’ai adoré! Je me suis en fait sentie vraiment privilégiée de pouvoir représenter la portion instrumentale des artistes québécois à Vancouver. Et l’énergie des Jeux était incroyable.
Grâce à Belle et Bum tu fais pleins de découvertes musicales, est-ce qu’il y en a une qui t’as marquée plus que les autres?
J’ai effectivement découvert plusieurs artistes que je ne connaissais pas avant leur passage à l’émission. Johnny Clegg est l’un deux; je le connaissais de réputation, mais je me suis procuré quelques uns de ses albums après l’avoir accompagné.
Combien d’heures de répétition avez-vous pour chaque émission de Belle et Bum?
Nous répétons environ 15h pour chacune des émissions.
Un journée dans la vie de Mélissa Lavergne, ça ressemble à quoi?
Ouf, dur de répondre à cela, car mes journées sont complètement différentes de l’une à l’autre; c’est le plaisir d’être travailleur autonome…!